Critiques :

Mad Movies  -  Alexandre Bustillo

Le premier à la puissance 10. Une bombe !


L'Express  - Eric Libiot  

Plutôt bien réalisé, ce petit divertissement remplit parfaitement sa fonction, celle d'une consommation rapide et très plaisante.


Objectif Cinéma  - Romain Le Vern  

Non seulement ce film n'a rien de honteux, mais en plus il relève plus qu'honnêtement le défi qui lui était imposé.


Libération  - Gilles Renault  

Eventré, empalé, calciné, écrabouillé, étouffé, découpé, l'homo erectus passe un sale quart d'heure et nous, du coup, un bon, dans ce Destination finale 2 consubstantiellement pessimiste qui, malgré sa portée très limitée, sait aussi manier l'humour détraqué et la dérision, induits par toute production gore qui se respecte.


Le Parisien  - Alain Grasset  

Surprenant : une suite meilleure que le premier épisode !


Télérama  - Cécile Mury  

Avec son parfum de navet numéroté, genre Kombat in ze dark 12, le titre fait un peu peur. Surprise : ledit légume est plus savoureux que prévu.


Les Cahiers du Cinéma  -  Sébastien Bénédict

(...) puisque tout le monde porte en lui un récit potentiel, celui de sa propre mort qu'il veut à tout prix éviter, on assiste à une véritable compétition, somme toute asse drôle.


Chronic'art  - Elysabeth François  

Si Destination finale 2 ne parvient pas à garder tout du long la même inventivité ni le même rythme, il n'en demeure pas moins, malgré ses apparences de blockbuster lambda, l'une des pirouettes cinématographiques les plus ironiques et distanciées de l'année.


Première  - Stéphanie Lamome  

Ellis a su profiter du bon concept qui lui était transmis en surexploitant ses talents d' action director au détriment de toute psychologie posttraumatique.


Studio  - Thierry Cheze  

Un deuxième volet réussi, dopé à l'humour noir.


Télé Ciné Obs  - Xavier Leherpeur  

Mais un second degré et un sens mordant du gag sanglant (un rien potache) parviennent quand même à rendre digeste ce sequel dont les justifications purement mercantiles restent patentes.


L'Humanité  - Vincent Ostria  

Scènes d'action excellemment réalisées, en particulier les accidents, impressionnants ; meurtres fort inventifs, voire machiavéliques. Hélas, on pousse parfois le gore dans ses retranchements comiques (personnage scié en rondelles, yeux crevés par une échelle), ce qui gâche un peu le plaisir fruste que dégage cette "vanité" hollywoodienne.


Zurban  - Véronique Le Bris  

Et, malgré le surjeu des acteurs et un script dans l'ensemble indigent, ce film qui rompt avec les mécanismes traditionnels de l'angoisse (pas de musique troublante et des scènes de mort si sophistiquées qu'elles en deviennent irrésistiblement drôles) ne connaît aucune baisse de rythme, ni d'humour. Déjà culte ? Peut-être, catégorie nanar, bien sûr !


Le Figaro  - Dominique Borde  

Si au début on s'interroge sur les caprices du destin, le don de double vue ou de fatalité, très vite le film prend un autre tournant et dérape dans le genre gore plus risible que vraiment terrifiant.


Novaplanet  - Alex Masson  

(...) con mais assez bon.


Le Monde  - Jean-François Rauger  

Destination finale 2 donne ainsi le sentiment d'un laboratoire au coeur duquel une poignée de scénaristes inventent gags macabres et bifurcations du récit mi-sérieuses, mi-burlesques, aidés en cela par d'impressionnants effets spéciaux.


Les Inrockuptibles  - Vincent Ostria  

Gros gore comique dans la lignée de Scream : de plus en plus drôle, de moins en moins effrayant.


Monsieur Cinéma  - Jean-Christophe Derrien  

Si on peut se désoler de cette initiative, on ne peut pas reprocher aux auteurs d'être feignants : les morts très graphiques (attention aux âmes sensibles) sont étonnamment inventives. A croire que la Grande Faucheuse cherche la petite bête pour emporter ses victimes... Malgré une manière un peu laborieuse de raccrocher ce second opus au premier, l'ensemble est tout à fait honorable.


Ciné Live  -  Sandra Benedetti

Un slasher-movie abracadabrant et burlesque répondant à toutes les conventions du genre, mais en presque drôle. Efficace mais parfois... brumeux.


Cinopsis  - Eric Van Cutsem  
A part cela, tout le reste est taillé sur mesure pour un public bien défini, peu au faîte de ce type de film, avide de se faire peur, qui se satisfera du peu d'originalité déballée devant ses yeux...

Source : Allociné.

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